• Appel à projets (recherche),
  • Libellé inconnu,

ANR / AAP Endiguer la résistance aux antimicrobiens via des approches thérapeutiques innovantes (JPIAMR-DRUID 2022)

Publié le 13 janvier 2022 Mis à jour le 13 janvier 2022

L’ANR s’associe au 14ème appel à projets du JPI AMR pour soutenir le montage de projets de recherche internationaux visant à lutter contre la résistance aux antimicrobiens.

Date(s)

le 8 mars 2022

Date limite pour le dépôt des pré-propositions
A 14h
Cet appel vise à améliorer le traitement des infections bactériennes et fongiques (y compris en cas de coïnfection) aussi bien en santé humaine, animale et végétale grâce à l’amélioration de l’efficacité, et de la spécificité de drogues préexistantes, grâce à de nouveaux protocoles d’administration, grâce à de nouvelles combinaisons thérapeutiques et/ou grâce au repositionnement de drogues. Cet appel porte sur les agents antimicrobiens homologués (antibiotiques/antifongiques) et sur les agents au stade préclinique ou clinique précoce. Les recherches proposées devront porter sur un ou plusieurs domaines « One Health » (santé humaine, santé animale, santé végétale).

Chaque consortium doit inclure un minimum de 3 participants éligibles au financement et appartenant à 3 pays différents participants à l’appel à projets, dont au moins 2 pays européens ou associés. Le nombre maximum de partenaires autorisés dans un consortium (y compris les partenaires non financés) est de 6. Le consortium peut être élargi à 7 participants si au moins un des participants est issu d’une entreprise ou travaille dans un pays à revenu faible ou intermédiaire, en Lituanie ou en Pologne. La participation de partenaires additionnels sur fond propre est possible mais limitée à 30% du budget total demandé. Le financement sera attribué pour une durée initiale de trois ans maximum. L'ANR financera les partenaires français des projets sélectionnés. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

Mis à jour le 13 janvier 2022